

À l'occasion de la sortie en librairie de Photocall, projet d'attendrissement, Vincent Broqua répond à trois questions autour de son livre :
Photocall attendrit le vivant. Si vous êtes animaux, plantes, roches, villes, pull marin, dieux et déesses, elle-lui-nous, fluides, entièrement nus, si vous aimez la photo, les défilés et les grandes parades, ce livre est pour vous, entrez.
Véronique Pittolo réserve à Photocall une critique drôle et créative, comme une brillante variation du dialogue de la fin du livre.
"Photocall, projet d'attendrissement" de Vincent Broqua : « un texte absolument d’avant-garde » pour Jan Baetens !
Jean-François Puff met Photocall à l'honneur dans une critique fournie sur Sitaudis !
" Le livre n’a pas de sujet, dit l’auteur dans un dialogue final, « sur la fin de l’amour, l’écriture, etcetera ». S’il en avait un, ce serait : ce que le médium fait à l’amour. Ou encore : ce que le trouble dans le genre fait au langage. "
Le site Un dernier livre avant la fin du monde publie une critique inspirée et enthousiaste de Photocall.
"Le projet d’attendrissement n’est pas hypothétique, on s’en aperçoit le livre refermé et le corps détendu."
« Dans Photocall, les textes se sont écrits avec l’idée incarnée de leur métamorphose et de ma propre métamorphose, de la métamorphose des corps et des voix dans notre époque violente. Lors de la soi-disant Manif pour tous, je ne me suis pas aperçu tout de suite qu’une chose avait changé de façon brutale dans mon langage. Un bégaiement est apparu, je n’arrivais plus à faire sortir les mots de façon straight. Dans le livre, je cite quelques cas (assez drôles d’ailleurs) de cours où les mots n’arrivaient pas à se produire entièrement. »