Nicolas II. Bilan du second quinquennat.
  • Date de parution : 01/03/2012
  • Collection : Hors collection
  • Thèmes : Politique
  • Genre : Humour
  • Nombre de pages : 88
  • ISBN : 978-2-36383-011-1
5,00 €
TTC
Quantity:

Nicolas II. Bilan du second quinquennat.

Entretien avec Laurent-David Puja-Ferra

Description

En ce printemps 2017, le second quinquennat de Nicolas Sarkozy est sur le point de s'achever. Il est temps de tirer un premier bilan des cinq nouvelles années passées à l'Élysée par le chef de l'État.

Animé d'un esprit d'ouverture et de protection à l'égard des Français, Nicolas Sarkozy a accepté de recevoir Laurent-David Puja-Ferra pour un entretien autour des thèmes marquants de sa seconde mandature et des principales réformes qui l'ont jalonnée : les 70 heures de travail hebdomadaires, la suppression des avocats, la réouverture du bagne de Cayenne, la fusion des caisses de retraite et des Pompes funèbres générales, le projet d'aménagement du territoire CALAMAR 3000®, etc.

Nicolas Sarkozy prouve ici une nouvelle fois que son action - loin des partis pris idéologiques - a été guidée en permanence par le souci du bien-être de ses concitoyens, surtout les moins démunis.

La presse en parle

Réélu avec 987 voix d’écart en 2012 le président Sarkozy s’est efforcé de redresser le pays grâce à des lois des plus efficaces. Le dynamisme économique a été assuré par la loi TREPA (Travailler Retravailler, Et Partir Agonisant) vulgairement appelée "les 70 heures" avec un slogan choc "la gauche a fait les 35 heures, j’ai fait les 70 !" De même les finances ont été rétablies par la SHQQQ (Saignée Hémorragique à Quantification Quinquennale), ainsi que par des mesures appropriées comme la vente de la Corse à Warren Buffet. L’insécurité n’est plus qu’un lointain souvenir grâce à la loi KILL (Kalachnikov à Inflexion Létale Légalisée), tandis que le trafic de drogue a été neutralisé par la réouverture du bagne de Cayenne. (...) Le travail magnifique du président Sarkozy semble parfaitement établi. Certains pourraient penser (à tort bien entendu) qu’il s’agirait d’une satire parfaitement argumentée et hilarante. Par Damien Dhondt

Sciences Fiction Magazine